Lors de la sortie de la RTX 4090 il y a quatre mois et demi déjà, nous fûmes agréablement surpris par le niveau de performances atteint. Il faut dire que le 8 nm de Samsung s'apparentait à un 10 nm tout juste retravaillé par les gens chargé de la communication, et que par conséquent, avec ce N4 qui est un 5 nm optimisé, nous avons assisté à deux sauts de nœuds, et non, il n'y a pas d'autre connotation bande de coquinous ! En outre, c'est la première carte qui permet de faire des jeux avec ray tracing (exception faite du path tracing qui est la forme la plus évoluée puisque la plus complète) sans avoir recours aux divers upscalings, DLSS 2 et DLSS 3 en tête de gondole. Les tests montraient également des cas de limitation processeur en UHD, ce qui est inédit comme situation, classiquement plus marquée en FHD, un peu moins en QHD. Nous allons voir dans cet article comment accompagner une telle carte, est-ce qu'un hexacore va fusiller les performances là où un dodécacore (souvenirs de nos vieux cours de géométrie !) ne le ferait pas ? En gros, quel processeur pour ce monstre ?
